Jusqu'au 14 décembre 2024, le photographe Eric Droussent expose 33 photos surréalistes de natures mortes… bien vivantes, extraites des séries Décalage Immédiat en noir et banc et ColorMyLife en couleurs, à La Maison de la Photographie des Landes.
Exposition jusqu'au 14 décembre 2024
La Maison de la Photographie des Landes
36 rue Félix Arnaudin - 40210 Labouheyre
Mercredi, jeudi et samedi, de 14h30 à 18h
Vous cherchez à installer votre activité de manière sereine et inspirante à la fois. Cette annonce est pour vous !
Bail commercial.
- Studio Les pavés bleus
- Adresse : 4, rue Piemontesi, 75018 Paris, entre Abbesses et Pigalle
- 2 niveaux avec escalier interne
- 2 x 35 m2
- Hauteur sous plafond au sous-sol 2m40
- Loyer actuel 1 500 € HT/TTC CC
- Reprise FDC/bail 30 000 €
- Clim convertible
- Escalier en fer forgé
- Parquet massif
- Matériel et ameublement à négocier
Je cherche un/e photographe (ou plusieurs) sérieux, motivés et engagés. Plein de choses sont possibles, il suffit d’avoir les chakras ouverts et de s’envisager comme un chef d’entreprise.
Idéalement, contactez-moi par mail pour organiser une visite en ce sens : milena@pcomme.com
Bernard Foulon est un photographe « Noir&Blanc ». Bien sûr la nécessité de la « modernité » l’oblige parfois à utiliser la couleur, mais c’est par le n&b qu’il s’exprime; ses clichés sont saisis à l’aide d’un boîtier Nikon F sur pellicule argentique.
Ce qu’il préfère en photographie : capter l’imprévisible, la situation qui émeut, la mise en forme qui étonne.
Les images de l'exposition sont des photos prises sur le vif durant une représentation publique, théâtrale par exemple, puisqu’il s’agit de saisir un instant du jeu des actrices-acteurs, de saisir le geste, de capter le moment qui fait sens, qui caractérise la situation théâtrale. Mais aussi des instants palpables d’osmose avec les spectateurs, lors de concerts.
Exposition jusqu'au 30 juin 2023
Espace Culture - La Vie Claire
Avenue Gambetta - 17100 Saintes
http://bernardfoulon-photos.fr/
Le photographe Elie Galey expose ses images d'Irak à la Galerie Le Point-Virgule à Langueux en Bretagne. Spécialisé dans la prise de vue de portrait, mariage, culinaire, des objets publicitaires
et des photos d’entreprise, Elie Galey propose ici de nous faire voyager dans le quotidien des Yézidis d’Irak. Cette minorité kurdophone, adepte d’une religion monothéiste ésotérique, est
considérée comme hérétique par l’EI, qui en 2014, a tué en quelques jours des centaines d’hommes de la communauté, enrôlé de force des enfants-soldats et réduit des milliers de femmes à
l’esclavage sexuel.
Les photographies présentées ont été prises en 2000 et 2002.
Exposition jusqu'au 1er avril 2023
Galerie Le Point-Virgule
9 rue Saint-Pern - 22360 Langueux
Mardi et vendredi, de 14h à 18h45 / Mercredi, de 10h à 12h et de 14h à 18h45
Jeudi, de 14h à 16h / Samedi, de 10h à 16h30
Ayant eu l’occasion de photographier de nombreuses personnes de toutes conditions et de tous milieux professionnels, Quyên Ngo-Dinh-Phü s’est rendu compte que bon nombre de personnes portaient sur elles un objet (bijoux, babiole, cailloux, photo, etc.) qu’elles sortaient de leur poche, de leur sac, pour se rassurer ou se donner du courage avant d’affronter l’objectif. C’est cela qui lui a inspiré cette série de portraits intitulée « Talisman ». Talisman, objet fétiche, secret, doué de pouvoirs surnaturels.
De tout temps, l’homme a associé des divinités, des dieux, des religions, du mystère à son quotidien pour affronter ce qui lui était obscur. Le talisman le protégeait pour partir à la chasse, à la guerre, ou en voyage ou encore devait l’aider à obtenir de bonnes récoltes, le préserver de la maladie, ou lui apporter la fortune. Croyances d’un autre temps ?
Les croyances sont encore présentes dans notre quotidien. Si le talisman demeure toujours un objet fétiche lié à une quelconque superstition pour certains, pour d’autres, il revêt une autre signification lié à notre identité, à nos racines, à notre patrimoine personnel, il peut même être devenu notre compagnon de route, de travail.
C’est un objet que l’on touche, que l’on regarde tous les jours ou que l’on a rangé, « oublié » au fond d’un tiroir, d’une boîte. Peu importe, on sait qu’il est là, à portée de main. Qu’il nous attend. Sentir sa présence nous suffit. Objet qui fait que notre vie ne serait plus la même si on venait à le perdre. Objet souvenir d’enfance, de famille, objet légué par un proche, un ami, objet trouvé par hasard et qui est entré dans notre vie. Objet devenu le compagnon de tous les jours, avec lequel on est reconnu, avec lequel notre vie s’est construite. Sans lui, celle-ci n’aurait pas le même sel. Notre histoire ne serait pas la même. Cet objet est une partie de notre identité, il fait partie intégrante de ce que nous sommes devenus.
Exposition du 14 au 22 mai 2022
Galerie du Coureur de grèves
25 rue de l’Eglise – 22500 Paimpol
http://www.quyen-photo.fr/
Le photographe Quentin Balouzet - Quentinprod Photos vous invite à découvrir son exposition "D'aventures en Aventuriers" du 3 au 29 décembre 2021 à la Médiathèque de Fontenay sous Bois !
Vous pourrez y découvrir une sélection de photographies de plus de cinquante artistes renommés de la scène française (Jean Louis Aubert, Marc Lavoine, Bernard Lavilliers, Vianney, M, Manu Katché,
Stephan Eicher, Jeanne Added, Shaka Ponk, Soprano...) et internationale (Asaf Avidan, Ana Popovic, Don Felder, Emir Kusturica, Kool & The Gang, Rickie Lee Jones, Ayo, Melody Gardot,
Maneskin...). Avec également un focus sur les dernières éditions du festival Les Aventuriers qui se déroule à Fontenay sous Bois et dont il est le photographe officiel.
Exposition du 3 au 29 décembre 2021
Médiathèque Louis Aragon
2 avenue Rabelais - 94120 Fontenay-sous-Bois
Lundi : de 14h-18h, Mardi : 16h-19h30, Mercredi : 10h30-12h30 / 14h-18h, Jeudi : fermé, Vendredi : 12h-18h, Samedi : 10h30-12h30 / 14h-18h
Présence du photographe les mercredis et samedis après-midis
Entrée libre
« L’Autre Amérique » est une exposition qui regroupe plusieurs séries photographiques réalisées par le photographe Arnaud Février. Débutée en 2016 avec « Les filles en l’air », portrait original d’une équipe de cheerleaders à Ivry-sur-Seine, la série s’est enrichie, d’abord à travers « Star Pass », une saison avec l’équipe de roller derby de « La Boucherie de Paris », puis avec « Huit secondes », un été avec des cowboys français venus défier un rodéo ardéchois haut en couleurs. Arnaud Février est ensuite parti à la découverte de l’équipe féminine de football américain de La Courneuve dans « Le Flash » et a clôturé sa série avec « Les Derniers », une approche de la communauté Mormone en Île-de-France.
À travers ces rencontres singulières, le photographe explore une identité française en mouvement, portée par des influences conscientes et inconscientes d’un soft-power américain questionné sur son déclin mais toujours fortement présent. Il nous invite à un jeu des « sept erreurs » en proposant un théâtre de similitudes à travers des portraits-miroirs. Arnaud Février inscrit aussi son travail et ses portraits dans les échos actuels d’une société française en mutation à mesure de sa prise de conscience de réalités multiples et diverses, autant culturelles que de genre.
Exposition du 1er au 30 septembre
UPP - Maison des photographes
11 rue de Belzunce - 75010 Paris
L'exposition rassemble des photos prises entre 2014 et 2020, années pendant lesquelles Théo Kosakevitch a accompagné les Petites Mains Symphoniques, un orchestre d'enfants qui réunit à Verneuil jusqu'à 350 enfants musiciens, durant leurs académies, concerts, répétitions, spectacles de gala, etc. La plupart des images ont été faites sur le vif, en concerts ou en répétitions, souvent dans des conditions de lumières déplorables.
L'exposition s'articule en 3 volets :
- La série "l'origine du son" proprement dite. Il s'agit de montrer ce que même le spectateur d'un concert ne voit pas, entrer dans l'intimité même du geste du musicien pendant sa performance. Le son nous enchante, mais avant le son il y a le silence. Et dans ce silence, il y a la respiration/souffle du musicien. Et avec cette inspiration, le son est déjà présent dans l'esprit du musicien, qui sait déjà ce qu'il va nous donner. Et avant cela, l'intention du musicien est parfois lisible dans ses yeux... Rendre présente la naissance du son par la photo, éminemment muette.
- Une installation que le photographe a baptisée "l'Orchestre Symphotonique" : il s'agit de reproduire en vertical le plan d'un orchestre symphonique. Quelques pas devant sera disposée sur une petite estrade surmontée d'un pupitre de chef, sur le pupitre une partition appelée "conducteur" accompagnée d'une baguette de chef : ainsi le visiteur pourra se vivre chef d'orchestre l'espace d'un instant.
- Une galerie d'images qui tente de montrer la vie des Petites Mains Symphoniques durant le festival, et hors festival. Et une partie du "trombinoscope" : série de portraits posés, mais non conformistes, voire parfois déjantés.
A l'occasion de l'exposition, une série de cartes postales créées pour l'occasion sera mise en vente, ainsi qu'un "livret-catalogue" de l'exposition qui sera accompagné de quelques réflexions sur le son, par les jeunes musiciens.
Exposition du 7 au 29 août 2021
Espace Saint-Laurent
Verneuil d'Avre et d'Iton
Ouvert du mercredi au dimanche, de 14h à 18h
Entrée libre.
L'exposition "Photographies humanistes" réunit 80 photographies récentes, en noir et blanc argentique, extraites de l’ouvrage de Serge Simon, Rencontres, qui sont l’accomplissement de toute une vie consacrée à la photographie.
Chaque photographie est le fruit d’une rencontre : nomades du Sahel, cavaliers mongols, populations surprenantes de Birmanie, d’Inde ou de Pologne… En fonction de la lumière, Serge Simon se place à hauteur de ses sujets avec un regard bienveillant et respectueux ; il se fait accepter d’eux, dans leur environnement. Jamais de mise en scène, toujours sur le vif, pas de misérabilisme, accueil de l’inattendu, parfois après une longue observation : telles sont les clefs de sa réussite.
« Je ne recherche pas l’image choc qui provoque l’horreur ou la pitié », au contraire, il témoigne de l’art de vivre de ces peuples.
Sa démarche et sa technique feront l’objet d’une rencontre / conférence, le mercredi 7 juillet à 19h. Il partagera les enseignements de ses contacts avec des populations bien plus respectueuses de la nature et économes de ses ressources que nous, occidentaux.
Exposition du 3 au 14 juillet 2021
Hôtel de ville de Montagne-au-Perche
Salle des fêtes
Ouvert de 10h à 19h
Entrée libre.
Le collectif S.A.P. (Sylva, Amy, Patty) présente l’exposition « Du noir et blanc à la couleur », un mélange de photographies humanistes argentiques et numériques, de photographies de paysages aux procédés alternatifs et de peintures abstraites.
Annick Maroussy – Amy – est photographe de paysage. Contemplative, elle présente ses dernières créations de tirages au charbon sur Fécamp et sa série Covid-19 « Intérieur ». Marie Sylvie His – Sylva – est photographe. De retour d’Afrique, l’artiste propose son regard sur l’orphelinat de Tohoun au Togo. Martine Maroussy – Patty – est peintre d’art décoratif. Habitée par la couleur et la matière, l’artiste propose ses œuvres récentes aux formes abstraites.
Exposition – Vente – Dédicaces
Jusqu’au 15 juin 2021
Boutique éphémère
Pourtour des Halles
76400 Fécamp
La galerie Imag’In Art à Saintes présente l’exposition Pure Colère de Camille Lepage et celle de Jacques Michel Coulandeau, Cueilleurs d’âmes, du mercredi 19 mai au samedi 10 juillet prochain.
Camille Lepage, photojournaliste, découvre les conflits armés à travers ceux qui se déroulent au Soudan puis en Centrafrique. Ses photographies témoignent de la réalité des populations prises en otage. Photographe engagée, elle s’insurge contre l’absence de publication de la part des médias occidentaux sur la souffrance endurée par les habitants. Elle est assassinée le 12 mai 2014 en Centrafrique dans l’exercice de son métier de photographe.
Jacques Michel Coulandeau oriente son travail photographique vers les habitants du Sud de l’Ethiopie de la Vallée de l’Omo. Ses photographies témoignent de la situation de ces populations vouées à la disparition et nous sensibilisent au drame qu’elles rencontrent dans l’enjeu pour l’accès à l’eau. Jacques Michel Coulandeau expose régulièrement ses photographies dans des festivals photographiques et a reçu de nombreux prix.
Expositions du 19 mai au 10 juillet 2021
Galerie Imag’In art
25 rue Saint Michel
17100 Saintes
Mardi, jeudi et vendredi, de 14h à 19h
Mercredi et samedi, de 11h à 19h
Entrée libre
Dans une époque lourde d’incertitudes et de difficultés, prendre le temps de s’évader est plus que jamais inspirant. A travers 3 expositions, le photographe Sébastien Meys propose une exploration du monde proche et lointain.
Avec « Beringei, les gorilles du Rift » et dans la continuité de son travail sur les gorilles, le photographe vous emmène dans la région particulière du Kivu en Afrique de l’Est. L’occasion d’y découvrir des animaux remarquables d’humanité évoluant dans un milieu complexe, entre pressions humaines et instabilité chronique.
« Prolemur Simus, ce lémurien que l’on croyait perdu » vous fait rencontrer un lémurien très rare sur l’île de Madagascar, qui a frôlé l’extinction il y a dix ans. Si la planète souffre, il est bon aussi de constater qu’il y a parfois des histoires encourageantes. Avec un peu d’aide et de bonne volonté, il arrive que les animaux et les hommes parviennent à s’adapter et à cohabiter.
Enfin, et parce que le « beau » ne se trouve pas uniquement au bout du monde, « Entre estuaires et pertuis » vous propose de nouvelles perspectives de nos territoires de Charente-Maritime, entre terre et mer. Depuis le sol ou les airs, en noir et blanc ou en couleurs, redécouvrez nos côtes et notre patrimoine.
Né en 1971, Sébastien Meys partage son enfance et son adolescence entre la région parisienne et les rives du bassin d’Arcachon où il se passionne pour le lieu et ses paysages. La rencontre (déterminante) de sa compagne le plonge dans le monde troublant des parcs zoologiques. Il y fait l’expérience d’une rencontre intense avec une jeune femelle gorille et entame un travail photographique au long cours avec ces doux géants, en France puis en Afrique. Convaincu que le beau ne suffit pas toujours à sensibiliser, il cherche à donner un sens à ses images et s’implique alors dans un programme de protection d’un lémurien rare à Madagascar. Documenter l’animal et les actions de conservation lui donne l’occasion d’explorer de nouveaux sujets et de participer concrètement à la défense du vivant. Perfectionniste, il recherche l’intensité d’un regard, la fluidité d’un mouvement, la poésie d’une étreinte qui feront de ses images les vecteurs d’une émotion, même fugace.
Infos pratiques :
Exposition du 19 mars au 24 avril 2021
Galerie Imag’in Art
25 rue Saint Michel – 17100 Saintes
Mardi, jeudi et vendredi, de 14h à 19h
Mercredi et samedi, de 11h à 19h
Entrée libre.
La société (statut EURL) propose des reportages photos et vidéos pour les entreprises et les collectivités, avec la particularité de pouvoir mêler photos traditionnelles et photos aériennes. Ces dernières étant réalisées par mât télescopique, par ballon captif, par drone ou par hélicoptère.
L'entreprise fournit à ses clients des photos originales et d'excellente qualité qui sont utilisées principalement pour illustrer le métier des entreprises, leurs projets, mais aussi le patrimoine et les réalisations des collectivités.
Après plus de 15 ans d'expérience, la société est particulièrement reconnue par ses clients pour son expertise dans le domaine du reportage « Evènementiel » et celui du suivi de travaux et d'activités en extérieur de toutes sortes : immobilier, urbanisme, construction, travaux publics, etc. Autre domaine d'expertise : le tourisme et le patrimoine, en relation avec les collectivités.
Zone d'activité principale : Île-de-France.
Contenu, prix, accompagnement, conditions... à discuter.
Contact : 06 08 55 13 45
La galerie Blin plus Blin a donné carte blanche au photographe Vincent Munier, qui propose un magnifique voyage de l'Arctique à l'Antarctique, en passant par le Tibet.
Jusqu'au 31 décembre 2020
Du lundi au samedi de 11h00 à 19h00
Le dimanche de 11h00 à 17h00
Galerie Blin plus Blin
46 rue de l'Université
75007 Paris
Inaugurée en avril 2019, la Galerie des Photographes est un lieu de vie situé au cœur du 11e arrondissement, entre Bastille et Voltaire, où elle se démarque par son atmosphère ouverte et conviviale. La galerie propose jusqu’au 7 novembre prochain l’exposition « Guerre et paix » du photojournaliste de l’Agence Gamma Eric Bouvet.
« Je sortais de Libye, en 2011, je ne sais pas comment j’échappe à la mort tous les jours, le tout pour gagner 1 200 euros dans le mois. Tim Hetherington meurt, Rémi Ochlik meurt. Je suis lessivé, je pète un câble. En 2012, je pars faire autre chose ; je décide de vivre avec la rainbow family plusieurs mois à travers le monde. Ce sont des gens qui refusent la société telle qu’elle est aujourd’hui, les médias, l’électronique, l’économie, la politique. Pas de drogues dures, pas d’alcool, pas de viande… Je participe au rassemblement mondial, à l’européen, à l’américain, et pour finir au burning man dans le désert du Nevada. »
En reprenant ses photos, Eric Bouvet se rend compte que certaines se parlent. Le projet « Guerre et paix » est né. Les diptyques prennent forme, dans un contraste et une esthétique qui questionne, comme souvent dans la violence des « théâtres d’opérations » qu’il continue pourtant à photographier. Côte-à-côte, les liens se créent. Même si les scènes n’ont rien à voir, l’humain reste au cœur de son travail.
Exposition jusqu’au 7 novembre 2020
La Galerie des photographes
29 rue Keller – 75011 Paris
La Doyenne du Monde est un film documentaire qui retrace l'histoire d’une rencontre entre Alexandre Sattler, photographe voyageur, et une paysanne de Birmanie, au visage marqué par l'empreinte du temps.
Cinq années après avoir photographié celle qu’il a surnommé “la Doyenne du Monde”, Alexandre, photographe humaniste, entreprend de la retrouver pour la remercier et pour découvrir l'histoire de cette femme du bout du monde.
Ce film documentaire sera accompagné par un beau livre photo, en hommage à la Doyenne du Monde.
Le livre est en pré-vente ici.
Invité par l’association Maen Glaz, le photographe Quyên Ngo-Dinh-Phu expose des photos extraites, en partie, du livre éponyme sorti en novembre 2018.
« Ce livre relate mon histoire. Celle d’un eurasien qui a pris conscience tardivement mais avec force, de l’appel de son autre culture, de son autre pays. Mélange de l’Histoire de deux pays, de deux cultures, pour un destin unique qui ne peut se satisfaire d’un seul sans être schizophrène... D’un continent à l’autre, difficile exercice d’équilibre pour pouvoir vivre sans être écartelé, déchiré, mais heureux de vivre tout simplement. Il m’aura fallu attendre plus de 26 années, pour reprendre le chemin de l’Asie. Le temps nécessaire, sans doute, pour pouvoir affronter enfin, cette dualité d’être métis. »
A travers cette exposition, Quyên Ngo-Dinh-Phu propose une découverte de « son Vietnam », pays de contrastes, de couleurs, de paradoxes. Un pays où se côtoient au quotidien modernisme et tradition. Et que dire de ses habitants, de leurs sourires, de leur accueil, de leur hospitalité et de leur optimisme ! Résolument tournés vers demain, ils trouvent toujours une solution là où nous voyons un problème. Pays en voie de développement, tout y change très vite, ses photos sont le témoignage de cette fin de décennie.
Pour ceux qui voudraient aller plus loin dans la découverte de ce pays, Quyên Ngo-Dinh-Phu anime une conférence mercredi 23 octobre prochain à 20h30.
Exposition du 17 octobre au 6 novembre 2019
Espace Hermine
22580 Plouha
Le pôle communication de la ville de Bandol présente une exposition en extérieur du photographe Bernard Asset, sur le quai Charles De Gaulle durant tout le mois de juin.
Cette exposition intitulée « Bernard Asset, 45 ans de F1 en images » marque le retour du Grand Prix de France de Formule 1 sur le circuit Paul Ricard tout proche, au Castellet, le 24 juin prochain.
Le dernier grand prix disputé en France s’était déroulé à Magny-Cours (Nièvre) en 2008, quant au dernier sur le circuit Paul Ricard, remporté par Alain Prost sur Ferrari, remonte à 1990 !
40 photos prises entre 1973 et 2018 sont présentées sur la promenade du port de plaisance de la station balnéaire du Var.